lundi 28 novembre 2011

Monday Mood (38)


Je ne suis pas que rock comme fille... j'ai aussi un petit côté électronique. J'aime parfois écouter les Chemicals Brothers, Daft Punk, Air... Mais par contre j'ai toujours détesté la musique techno qui passe en boîte de nuit (et puis j'aime pas danser ni boire comme un trou alors les boites, j'ai jamais vu l'intérêt, on ne s'y entend même pas parler).

Aujourd'hui, pour rester dans la thématique film lancée la semaine dernière avec Billy Elliot, je te propose la douceur de la musique de Air (ici Playground Love) dans le film The virgin suicides... que j'ai adoré évidemment ! Elle est trop forte Sophia.

Et toi tu aimes les films de Sophia ? Et la musique de Air ?

vendredi 25 novembre 2011

Absolument débordée, Zoé Shepard


Dans ma petite vie de petite lectrice, je range mentalement les livres que je choisis comme une grande de lire par catégories (je précise que je choisis par ce qu'il y a parfois des lectures imposées dont on ne maitrise pas l'envie de lire : il pourra plaire ou non mais en tout cas il n'aura pas été choisi par moi-même) :
  • Les livres que j'ai adorés et que je relirai sûrement, si ce n'est pas déjà fait. Je conserve donc l'exemplaire de ce livre si c'est un livre que j'ai acheté, je l'achète après coup parfois si je l'ai emprunté. En tout cas il peut trôner fièrement dans ma bibliothèque (enfin, dans un carton pour l'instant, je n'ai pas encore la place pour installer la bibliothèque de mes rêves) . Pour ces livres là, arriver à la fin fut un déchirement, une mort qui arrive trop tôt.
  • Les bons livres. Avec des nuances évidemment, y'en a que j'ai aimé plus que d'autres, y'en a que je garde, y'en a que je revends pour en acheter d'autres… Arriver à la fin d'un tel livre est comme une fin en soi, un but à atteindre, un soulagement devant le dénouement de l'intrigue.
  • Les livres que je n'ai pas aimés, tellement que parfois je n'ai même pas su les terminer. Arriver jusqu'à la fin est un supplice que je décide d'abréger, surtout quand un autre livre m'attend sur mon chevet…

J'ai bien plus souvent de bons livres que d'excellents ou de mauvais (encore que mauvais, ça n'est pas le mot). Et tant mieux d'ailleurs. Dans ce blog je reviens rarement sur mes lectures, c'est un tort finalement… ça doit être un reste du traumatisme des fiches de lecture à l'école.

Et pourquoi donc je te raconte tout ça aujourd'hui ?
Pour faire une jolie introduction à Absolument débordée de Zoé Shepard… que j'ai refermé avant la fin, largement avant, même pas au milieu.
Ça ne m'a pas fait rire, mais alors pas du tout. Pourtant je suis assez humour noir comme fille, je sais rire de tout ou presque, la dérision est mon amie, je me prosterne devant Guillon, c'est dire. Ou alors je suis vraiment trop naïve pour croire qu'une telle caricature est en fait une réalité et que plutôt que d'en rire je préfère m'en offusquer…
J'ai pas accroché au style d'écriture, j'avais l'impression de lire le mauvais script d'une fiction de TF1 avec presque en fond sonore les rires en boite.
L'histoire n'avance pas (mais y a-t-il vraiment une histoire à proprement parler finalement ?). Là j'avais l'impression que notre amie Zoé s'est vite habituée à ce boulot qu'elle critiquait, à ce rythme de fonctionnaire, prise dans le mouvement, elle s'est laissée faire et a juste pris des notes pour faire le bouquin. Enfin, je me trompe peut-être vu que j'ai pas dépassé le milieu, peut-être qu'à un moment elle se révolte, elle se bouge les fesses, elle démissionne pour aller voir ailleurs si c'est pas mieux, qu'elle fasse un truc quoi plutôt que de se lamenter/complaire (j'ai du mal à faire un choix).
Mais j'ai pas vu venir ce changement de situation, j'ai pas vu avancer l'action, je n'ai pas ri et j'ai trouvé le style un peu lourdaud : j'ai pas pu aller plus loin, j'ai refermé ce livre.

Et je me sens bien seule dans ce cas-là, partout ou presque je ne lis que des éloges sur ce livre ou presque… et toi tu l'as lu ? Tu l'as aimé ou pas ?

Si tu l'as pas lu je veux bien te le donner mais je veux une fiche de lecture en retour (et non, je ne l'envoie pas par la poste, c'est pas la version poche que j'ai, ça va me coûter un bras et je trouve pas que ça en vaille le coût)

lundi 21 novembre 2011

Monday Mood (37)



Cette semaine, avec la Clochette, on a regardé Billy Elliot. C'est ça qui est chouette, c'est qu'à 6 ans et demi elle soit capable maintenant de regarder un film (et pas uniquement un dessin animé) en entier. Même si elle ne capte pas tout, même si des choses ont besoin d'être expliquées (comme par exemple la grève que mènent le père et le frère de Billy), c'est vraiment agréable de changer de registre.

Surtout que j'adore Billy Elliot, les différents personnages, l'histoire, la musique, tout ! Je suis vraiment contente d'avoir pu profiter avec elle de ce film.

Billy l'a touchée car il fait de la danse, comme elle (même si c'est de la danse moderne qu'elle fait). Ça a été une sacré occasion de leçon de vie sur les filles et les garçons et les loisirs qu'ils peuvent faire ou non et pourquoi. Les clichés ont la peau dure : "un garçon qui fait de la danse, ça se peut pas hein maman ?"... ben si, une fille qui fait du foot aussi ça existe, vient je vais t'expliquer...
Je vais même pouvoir en rajouter une couche sur le sujet avec son frère qui va recevoir à Noël une poupée qui dit maman et papa.

Et toi, tu as aimé ce film ?

lundi 14 novembre 2011

Monday Mood (36)



J'aime pas trop le Gainsbourg aux accents reggae... mais bon il faut dire que cette Marseillaise est sympa.

La Clochette a appris le refrain et le premier couplet de notre hymne national à l'occasion du 11 novembre. Au début elle nous disait qu'à l'école ils apprenaient la chanson de la guerre, c'est flou pour elle ce concept de guerre, de patrie... elle dit même "Allons enfants de la batterie", c'est dire !
J'aime pas les paroles de la Marseillaise... cette chanson guerrière ne reflète plus notre patrie je trouve, ça n'est pas joyeux du tout et l'explication de texte est dure pour une enfant de 6 ans : étendard sanglant, égorger nos fils et nos compagnes, qu'un sang impur abreuve nos sillons... Heureusement qu'elle n'a pas posé des question sur tout...

On finit sur une touche positive quand même : Liberté, liberté chérie... là je veux bien disserter avec ma fille des heures là-dessus.

Et toi, le jour du 14 juillet, tu restes dans ton lit douillet ?

lundi 7 novembre 2011

Monday Mood (35)



J'ai zappé le Monday Mood de la semaine dernière pour cause de week-end à la mer. Je t'aurais bien mis une chanson depuis mon téléphone mais j'ai pas réussi...

J'ai choisi Alain Souchon qui chante notre mer du Nord du coup, même si Le Touquet on l'on s'évade n'est pas vraiment en mer du Nord mais bon, on va faire comme si hein ?!

Et toi, tes rapports avec Alain, la mer, tout ça ?